LE SAINT SUAIRE
« C’EST L’ÉTENDARD DE NOTRE SALUT »
Auteur : Frère Bruno Bonnet-Eymard
Parution : mars 1991
Éditions CRC, 1998, 3e édition, 6e mille.
1 volume, 76 pages, 48 illustrations noir et blanc, et couleur, 21 cm x 29,5 cm.
volume broché : dos carré, collé sans couture.
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Une enquête expose les agissements des faussaires. Substitutions successives… permettant de dater le Saint Suaire : 11 - 64 après Jésus-Christ !
Les témoignages historiques de l’existence du Saint Suaire surabondent : Constantinople, Édesse, iconographie byzantine. Sa trace se perd en 1204 pour réapparaître à Lirey en 1350. Les taches de sang témoignent, l’examen du corps aussi. Cela permet quelques hypothèses sur la formation de l’image.
Frère Bruno est allé mener l’enquête dans les laboratoires de Tucson, Oxford et Zürich : les témoignages sont contradictoires et variables.
L’analyse statistique des résultats montre une discordance inacceptable sur le seul échantillon no 1. Il n’y a pas de crime parfait ! Oxford a triché et n’a pas analysé le même tissu qui avait été substitué au tissu du Suaire.
L’abbé de Nantes, dans une véritable enquête policière, décrit la succession de ces substitutions. L’échantillon no 3, étiqueté “ momie égyptienne ”, en réalité après la substitution “ Saint Suaire ”, fut daté 11-64 après Jésus-Christ. C’est la réelle datation du Saint Suaire !
Qu’on examine les restes de tissu : on saura reconnaître le Saint Suaire !