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L’ouvrage s’ouvre sur l’expulsion des congrégations religieuses voulue par les francs-maçons au pouvoir, bientôt suivie d’autres lois iniques pour déchristianiser la France. Mgr Freppel ne se dérobe pas dans cette lutte et se fait élire député pour peser à la Chambre, de tout son poids d’évêque mais aussi comme royaliste. Cela ne l’empêche pas de soutenir les initiatives coloniales du régime au nom de la France et en soutien aux missionnaires (au Tonkin, à Madagascar). À la mort du comte de Chambord, le retour d’une monarchie chrétienne par les Orléans lui paraîtra bien peu probable.

Son aura gêne tout autant les libéraux-catholiques – ces faux-frères « pires que les communards » – que le nonce Mgr Czacki, ennemi virulent. Sans compter le Pape, consacré à sa politique de conciliation, auxiliaire des républicains, de fait, en exigeant du clergé une neutralité absolue. Mgr Freppel décèlera la responsabilité personnelle de Léon XIII dû à son libéralisme, dans les événements de son temps.

Le tome IV exposera de quelle manière Mgr Freppel lutte, presque seul, contre le libéralisme catholique soutenu inconditionnellement par Rome.