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Entré au séminaire d’Issy-les-Moulineaux, Georges de Nantes écrira : « Je me suis confié à l’Église comme un enfant à sa mère pour tout recevoir d’elle »… et de ses maîtres. Dès lors, c’est « la joie de Vérité » : réfutation de Kant par le Père Ruff ; combats contre le teilhardisme et le modernisme, et en exégèse, contre l’intégrisme.

Stagiaire au Prado, il se dévoue auprès des “ gones ” de la Guillotière mais il devient indésirable… pour cause de maurrassisme.

Inébranlable dans sa vocation, il reçoit déjà les grandes lumières qui éclaireront toute sa vie et ses combats à venir : l’intuition de sa métaphysique relationnelle, l’explication du mystère eucharistique, balayant Luther et le modernisme. « Ne songeant qu’à la Vérité », il se heurte à M. Callon qui « n’enseigne pas la théologie catholique » au sujet de la grâce, de la prédestination et de l’enfer : duel théologique qui faillit compromettre son ordination. Mais, il avait durant ces années, « un maître et incomparable ami » qui fut sa providence...