LE SAINT SUAIRE
TOME I. PREUVE DE LA MORT ET DE LA RÉSURRECTION DU CHRIST
Auteur : Frère Bruno Bonnet-Eymard
Parution : déc. 1986
Éditions CRC, 1990.
1 volume, 160 pages, 72 illustrations noir et blanc, et couleur, 21 cm x 29,5 cm.
volume relié : reliure cartonnée.
19,00 € Épuisé
Flagellé, coiffé d’épines, cloué à la croix, il n’y a pas de possibilité réaliste qu’un autre que Jésus-Christ fut enseveli dans le Suaire de Turin.
En 1981, les Américains du STURP affirment : « Nous pouvons conclure pour l’heure que l’image du Suaire est celle d’une forme humaine réelle d’un homme flagellé et crucifié. Elle n’est pas l’œuvre d’un artiste. » L’étude archéologique indique que l’homme était un Juif, crucifié par les Romains et enseveli selon les coutumes juives. Couronné d’épines, percé au flanc (au lieu d’avoir les jambes brisées), son corps a quitté le linceul au lieu de se décomposer. Il n’existe aucune possibilité réaliste que quelqu’un d’autre que Jésus-Christ fut enseveli dans le Suaire de Turin.
Un agrandissement en relief de la Face fait apparaître sur les paupières deux pièces de monnaie à l’effigie de Ponce Pilate, datation absolue !
Dans le tombeau, on revêt le Christ de son suaire qui, comme précisé par saint Jean, lui recouvre la tête et non pas seulement le corps. Au moment de la Résurrection, sa lumière, la lumière de son visage se manifeste – est-ce la brûlure que l’on reconnait sur le Saint Suaire de Turin ? – et le Suaire, qui est un négatif de la lumière du Christ, est simplement le voile que cette lumière a transpercé et qui laisse paraître à nos yeux les traits du Sauveur glorieux.