LETTRES À MES AMIS
TOME IV
Auteur : Abbé Georges de Nantes
Parution : sept. 1967
Lettres à mes amis numéros 229 à 252 (juin 1966 à septembre 1967) rassemblées en un volume, 21 cm x 27 cm.
volume relié : reliure cartonnée demi-similicuir.
volume broché : dos carré, collé sans couture.
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L’abbé de Nantes demande que ses écrits soient jugés à Rome, et fait l’objet d’une suspense. La rupture est totale, l’affrontement aussi.
L’abbé de Nantes est frappé de suspense. « La rupture me dégageait du contrôle épiscopal. Je ne songeais ni à me lamenter ni à me rebeller, mais à expliquer, expliquer toujours mieux le drame où s’enfonçait l’Église. Je voyais que ce drame était la reproduction saisissante en ce siècle de la formidable crise de l’arianisme au IVe siècle... » Et d’étudier le lien historique entre l’arianisme et le Masdu.
« L’Église catholique, un an après le Concile, est en fait aux mains d’une secte qui la mène à la ruine, sous prétexte d’en faire la servante-maîtresse d’un Monde qui l’a en haine. J’ai donc décidé de m’adresser au Souverain Pontife, comme Pasteur suprême de l’Église, personnellement, pour réclamer et obtenir de son Magistère infaillible la solution de doutes désormais insupportables. » (CRC no 110)
Dans l’étude de Populorum Progressio : « Paul VI a choisi de mettre en accusation le capitalisme, afin d’imposer au monde le plan grandiose d’une nouvelle organisation internationale qui ne sera ni traditionnelle ni hiérarchique, ni occidentale ni catholique, mais démocratique et socialiste. » (Lettre no 245)